Dès l’arrivée à l’aéroport, la Nouvelle Zélande s’annonce fidele à sa réputation : organisée, respectueuse et aidante. Matthieu et son besoin-de-voyager-leger-donc-j’achète-un-morey doit répondre à trois interrogatoires avec certains des nombreux policiers présents dans la zone, tous conclus à grand renfort de “génial, moi aussi je surfe!” ou “amusez-vous bien, très bonne journée à vous, embrassez votre mère, femme, enfants, chien, mettez de la crème solaire et encore bonne année”! Par contre pas de trace dudit morey… Voyant le bon coté de la chose, on part plus légers quand on découvre la possibilité d’abuser du temps généreusement offert par Bridget, gentille et dynamique employée de l’office du tourisme de l’aéroport. Parce qu’ici, non contents d’avoir pensé à offrir l’information exactement quand on en a besoin et pas dans la ville (que même il te faut le plan pour trouver l’office et que le plan est donné à l’office…), ils font tout pour toi : comparaison des prix, astuces, conseils, et même réservation et paiement directement avec eux. Un 2e gros bon point pour les Néo-Zélandais à 1h d’arrivée sur le territoire, va falloir penser à en racheter parce qu’à ce rythme là, on en aura jamais assez.
Nous voila arrivés à l’hôtel à 74$ (NZD donc 37euros) la micro chambre, merci Auckland. Fatigués par notre vol et l’attente à Singapour,
Nous voila arrivés à l’hôtel à 74$ (NZD donc 37euros) la micro chambre, merci Auckland. Fatigués par notre vol et l’attente à Singapour,
on résiste à la tentation de la sieste immédiate pour partir manger. Ici, c’est snack party de partout, un truc affolant… En une rue, pas moins de 2 Mc Do, 2 Burger King, 1 subway plus tous les petits resto qui ne proposent que sandwiches, kebabs ou burgers. On comprend mieux le format Quaker des gens…
Après notre premier burger de Nouvelle-Zélande, nous rentrons à l’hôtel pour une petite sieste. Il est alors 18h et on ne se réveille que le lendemain à midi. Ca c’est de la sieste! Là, bonne nouvelle, le morey est arrivé. Aller, encore un bon point pour les Néo-Zélandais qui livrent carrément le bagage manquant où on veut (ça change!). Une pizza dégueu et on part à la galerie contemporaine, très réputée dans toute l’île. Sauf que définitivement, l’art contemporain, faut y être habitué! Et puis avec tout ça, il est déjà 17h, l’heure à laquelle tout ferme ici. On part donc bien vite au Victoria Park Market, où on trouve les magasins de souvenir et d’artisanat en train de fermer. C’est pas grave, on a vu sur la route un resto Français et on s’est dit que ça pourrait être sympa d’y aller pour l’apéro histoire de prendre quelques bonnes infos sur la région. Surtout on y rencontre une Néo-Zélandaise qui fête son anniversaire. Ici, la bienséance veut que l’hôte soit en avance pour accueillir comme il se doit ses invités (contrairement au snobisme Français qui dicterait plutôt d’arriver en retard pour montrer à quel point on a une vie trépidante). On a donc le temps de discuter un peu avec elle seule avant qu’elle ne soit rejointe, juste ce qu’il faut pour donner encore quelques bons points pour son allant et sa sympathie naturelle. Ils sont forts ces Néo-Zélandais!
On part manger dans un resto mexicain, pensant trouver des pistes pour mon improbable envie de danser la salsa (piste, piste de danse, jeu de mot…). C’est chose faite, enfin si on veut car l’adresse conseillée, “à 15 min à pied”, est non seulement super loin, mais en plus complètement fermée… 1h30 à errer dans la ville, juste de quoi nous mettre dans le rouge question fatigue… Et c’est reparti pour l’impossibilité à se lever le lendemain… On a donc, du fait du lever tardif, le même peu de temps que la veille pour essayer la partie “exposition temporaire” de la galerie, sensée être un foyer d’œuvres maori. Ouais alors faudra nous expliquer parce qu’entre les maisons en tricot, les découpages de livres pour enfants et les pommes superposées, on dit qu’on voit ni où est l’art, ni où sont les maoris! La seule chose qui nous aura retenu, c’est le “jardin zen” d’un Japonais (on vous l’a dit, vachement maori…) qui fait fondre un bloc de petits galets au-dessus de deux caisses en bambou dont l’une tendait des cordes, l’autre une barre métallique. Les gouttes, en tombant, produisait donc un bruit sur le bambou, accompagné du bruit des galets sur les cordes ou barre. Original…
Le reste de la journée passe aussi pitoyablement que la veille… On est décidément pas faits pour les capitales… Le soir on tente une autre sortie salsa mais c’est pas mieux. J’aurais quand même eu le privilège de danser 3 danses avec mon amoureux! Nos premières danses dans un bar!
Le lendemain nous prenons la tangente en camper van. Direction la campagne, ça nous réussit mieux!
Après notre premier burger de Nouvelle-Zélande, nous rentrons à l’hôtel pour une petite sieste. Il est alors 18h et on ne se réveille que le lendemain à midi. Ca c’est de la sieste! Là, bonne nouvelle, le morey est arrivé. Aller, encore un bon point pour les Néo-Zélandais qui livrent carrément le bagage manquant où on veut (ça change!). Une pizza dégueu et on part à la galerie contemporaine, très réputée dans toute l’île. Sauf que définitivement, l’art contemporain, faut y être habitué! Et puis avec tout ça, il est déjà 17h, l’heure à laquelle tout ferme ici. On part donc bien vite au Victoria Park Market, où on trouve les magasins de souvenir et d’artisanat en train de fermer. C’est pas grave, on a vu sur la route un resto Français et on s’est dit que ça pourrait être sympa d’y aller pour l’apéro histoire de prendre quelques bonnes infos sur la région. Surtout on y rencontre une Néo-Zélandaise qui fête son anniversaire. Ici, la bienséance veut que l’hôte soit en avance pour accueillir comme il se doit ses invités (contrairement au snobisme Français qui dicterait plutôt d’arriver en retard pour montrer à quel point on a une vie trépidante). On a donc le temps de discuter un peu avec elle seule avant qu’elle ne soit rejointe, juste ce qu’il faut pour donner encore quelques bons points pour son allant et sa sympathie naturelle. Ils sont forts ces Néo-Zélandais!
On part manger dans un resto mexicain, pensant trouver des pistes pour mon improbable envie de danser la salsa (piste, piste de danse, jeu de mot…). C’est chose faite, enfin si on veut car l’adresse conseillée, “à 15 min à pied”, est non seulement super loin, mais en plus complètement fermée… 1h30 à errer dans la ville, juste de quoi nous mettre dans le rouge question fatigue… Et c’est reparti pour l’impossibilité à se lever le lendemain… On a donc, du fait du lever tardif, le même peu de temps que la veille pour essayer la partie “exposition temporaire” de la galerie, sensée être un foyer d’œuvres maori. Ouais alors faudra nous expliquer parce qu’entre les maisons en tricot, les découpages de livres pour enfants et les pommes superposées, on dit qu’on voit ni où est l’art, ni où sont les maoris! La seule chose qui nous aura retenu, c’est le “jardin zen” d’un Japonais (on vous l’a dit, vachement maori…) qui fait fondre un bloc de petits galets au-dessus de deux caisses en bambou dont l’une tendait des cordes, l’autre une barre métallique. Les gouttes, en tombant, produisait donc un bruit sur le bambou, accompagné du bruit des galets sur les cordes ou barre. Original…
Le reste de la journée passe aussi pitoyablement que la veille… On est décidément pas faits pour les capitales… Le soir on tente une autre sortie salsa mais c’est pas mieux. J’aurais quand même eu le privilège de danser 3 danses avec mon amoureux! Nos premières danses dans un bar!
Le lendemain nous prenons la tangente en camper van. Direction la campagne, ça nous réussit mieux!
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